(EcoFinances) – Le président de la Fédération camerounaise de football (Fecafoot), par ailleurs ancien Lions Indomptables et ex star internationale du ballon rond, Samuel Eto’o Fils, ne doit aucunement la somme de 200 millions de FCFA au PDG de Congelcam, comme a voulu faire croire la rumeur sur les réseaux sociaux ces derniers jours. C’est ce qu’indique Maître Fidèle Djoumbissie, avocat-conseil de l’honorable Syvestre Ngouchinghe, PDG de Congelcam, qui a rendu public, ce lundi 28 août 2023, un communiqué à l’effet de faire taire ce ragot. En effet, il s’agit, apprend-on, d’une information inexacte dont seuls les auteurs et leurs followers maîtrisent les tenants et les aboutissants.
« Depuis quelques jours circule, sur les réseaux sociaux, une information produite par Boris Bertold faisant état d’une dette de 200 000 000 FCFA (deux cent millions de francs CFA) de Monsieur Samuel Eto’o Fils à l’égard de l’opérateur économique, honorable Sylvestre Ngouchinghe. Cette information a été abondamment relayée. Il s’agit d’une information inexacte que l’auteur et ses suivants diffusent pour des fins qu’eux seuls connaissent », souligne Me Djoumbissie.
A en croire l’avocat au barreau du Cameroun, Samuel Eto’o n’a jamais contracté un prêt auprès de l’honorable Syvestre Ngouchinghe, PDG de Congelcam, et aucune relation d’affaires n’existe d’ailleurs entre les deux hommes. « Je tiens à vous informer qu’’il n’existe aucune relation d’affaires entre honorable Sylvestre Ngouchinghe et Samuel Eto’o Fils. L’un est un acteur de premier plan incontesté du football et l’autre un opérateur économique d’une réputation avérée et de notoriété publique », précise-t-il, ajoutant que l’espace public national a besoin de données réelles et non de fake news.
Pour rappel, ce n’est pas la première fois que le président de la Fecafoot, Samuel Eto’o Fils, est ainsi victime d’une rumeur savamment orchestrée par des officines tapies dans l’ombre aux fins de ternir son image ou de le déstabiliser. Des cas de fake news comme celui datant de ces derniers jours sont souvent répandues au détriment de l’image de l’ex footballeur international En novembre 2017, il a par exemple été victime d’une folle rumeur indiquant qu’il aurait donné de l’argent à chaque migrant rapatrié de Libye, relativement à un sujet d’activité, obligeant SEF à réagir sur ses plateformes sur les réseaux sociaux, pour dire que ce bruit était infondé.